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Préventica Paris : une vision à 360° pour le Bâtiment et les collectivités
Publié le 25/04/2019
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[Zepros Quo] A moins d’un mois de la 2e édition parisienne de Préventica, Zepros fait le point sur le programme de ce congrès et salon dédiés à la sécurité et la prévention au travail. Visant à simplifier le secteur de la santé au travail, le rapport Lecoq sera au cœur des débats.
Après une première édition en 2017, la vitrine de la prévention des risques professionnels revient du 21 au 23 mai à Paris, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Et elle continue aussi de tout voir en double : avec deux formats (salon et congrès) et deux enjeux majeurs pour les entreprises (la santé/sécurité au travail, la sécurité/sûreté des personnes et des biens). Durant trois jours, la manifestation qui attend plus de 15 000 visiteurs issus, entre autres, de l’univers du BTP et des services techniques des collectivités territoriales, ambitionne d’être, une fois encore, « le plus grand laboratoire d’expérimentation » en matière de prévention, de sécurité et de qualité de vie au travail pour « aider les entreprises à se pérenniser et se développer ».Placé sous le triple patronage du ministère de l’Intérieur, celui du Travail, et celui de la Solidarité et de la Santé, Préventica Paris convie sur 20 000 m² fabricants et distributeurs de solutions techniques, entreprises et collectivités, mais également experts, chercheurs, start-up et organismes de formation à passer au crible plus de 800 situations et facteurs de risques potentiels afin d’« imaginer les moyens, de les anticiper et d’améliorer la performance globale » des sociétés.
Après une première édition en 2017, la vitrine de la prévention des risques professionnels revient du 21 au 23 mai à Paris, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Et elle continue aussi de tout voir en double : avec deux formats (salon et congrès) et deux enjeux majeurs pour les entreprises (la santé/sécurité au travail, la sécurité/sûreté des personnes et des biens). Durant trois jours, la manifestation qui attend plus de 15 000 visiteurs issus, entre autres, de l’univers du BTP et des services techniques des collectivités territoriales, ambitionne d’être, une fois encore, « le plus grand laboratoire d’expérimentation » en matière de prévention, de sécurité et de qualité de vie au travail pour « aider les entreprises à se pérenniser et se développer ».Placé sous le triple patronage du ministère de l’Intérieur, celui du Travail, et celui de la Solidarité et de la Santé, Préventica Paris convie sur 20 000 m² fabricants et distributeurs de solutions techniques, entreprises et collectivités, mais également experts, chercheurs, start-up et organismes de formation à passer au crible plus de 800 situations et facteurs de risques potentiels afin d’« imaginer les moyens, de les anticiper et d’améliorer la performance globale » des sociétés.
La vigilance reste de mise
Selon les chiffres diffusés fin novembre dernier par l’Assurance Maladie-Risques professionnels, le BTP qui reste l’un des secteurs plus exposés, a pourtant enregistré en 2017 une baisse sensible des accidents de travail, de l'ordre de -3 %, pour atteindre 56,8 accidents pour 1 000 salariés (contre 60 en 2016 et 64,8 en 2013). En revanche, le nombre de décès est remonté (120 en 2017 contre 112 en 2016), même si, sur le long terme, ce phénomène est en repli continu. Des données qui invitent donc managers et préventeurs à rester vigilants et à investir en prévention. D’autant que la santé au travail doit connaître, d’ici à cet été, un “big bang” législatif (voir encadré ci-dessous). Au gré des stands, conférences et retours d’expérience, Préventica rappellera qu’améliorer la santé et la qualité de vie au travail doit être vécu comme une opportunité et non une contrainte.
Prévention 4.0
Pour « transformer la prévention des risques en levier de performance pour l'entreprise », l’événement abordera, en termes d’offre et services, une vingtaine de thématiques comme les EPI, la prévention des chutes de hauteur ou de plain-pied, les solutions face au risque de l’amiante, l’hygiène, les premiers secours ou encore la qualité de vie au travail et la prévention des risques psychosociaux.Grâce à la présence d’une centaine de start-up, ce rendez-vous permet aussi de découvrir des solutions innovantes. À titre d’illustrations : l’exosquelette de Japet qui permet de « rétablir les capacités de salariés souffrant de lombalgie » ; les semelles morphologiques connectées de RCup pour « suivre les opérations de manutention et éviter des risques de troubles musculo-squelettiques (TMS) et blessures ». Il y sera aussi question de prévention 4.0 grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Un “village” fera des démonstrations sur la manière dont exosquelettes et cobotique (collaboration homme-robot) peuvent réduire le risque d’incidents au travail.Sur les stands institutionnels (Assurance Maladie, Institut national de recherche et de sécurité…), outre le partage de bonnes pratiques, des experts informeront sur la tarification des risques professionnels ou le compte professionnel de prévention (C2P) pour « mieux comprendre les enjeux de ces leviers à la prévention ». D’ailleurs, selon le dernier Baromètre RSE réalisé par Malakoff Médéric et l’Orse*, en 2016, 66 % des dirigeants jugeaient que les actions en faveur de la santé et de la sécurité au travail améliorent les performances économiques de l’entreprise. Il reste encore un tiers à convaincre…* Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises
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Réglementation • Rapport Lecoq : une onde de choc
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