Tamiazzrr, le Petit Peintre qui n’a pas son pinceau dans sa poche : interview exclusive
Publié le 25/09/2024
Denis Gentile
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Au fil de cette interview, vous découvrirez le vrai visage de Tamiazzrr, le Petit Peintre
Il était une fois un jeune peintre qui manie son pinceau comme un batteur tient et joue avec ses baguettes. Il a tapé dans l’œil de plusieurs pros du bâtiment, comme Stéphane Aria qui a décidé de le prendre sous son aile. En plus, il a une personnalité qui ne vous laissera pas indifférent. En le suivant sur les réseaux sociaux, vous adorerez ou vous serez choqué, mais vous ne l’oublierez pas de sitôt. Derrière son nom étrange se cache une histoire poignante, une extraordinaire renaissance.
Voici l’interview du Petit Peintre qui n’a jamais son pinceau dans sa poche !
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Les jeunes sont des fainéants !
Tony, tu as ton style qui te démarque des autres sur les RS. Dans tes vidéos sur Tik Tok et Instagram, on te voit poser du papier peint ou une toile de verre, peindre à main levée, poncer un plafond, etc. Et en voix off, on t’entend parler de différents sujets autour de ton métier et des jeunes. Tu leur donnes des conseils aussi bien techniques que sur la vie en général. Tu as aussi un ton et un phrasé un peu vintage qui nous donne l’impression de voir un reportage dans un grand cinéma parisien.
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Tamiazzrr n'a que 23 ans et un talent fou
Dans une vidéo, tu reviens sur cette rengaine :
« les jeunes sont des fainéants ».
Je te rassure, j’entendais ça aussi à mon époque. Mais tu ajoutes, et c’est le plus intéressant,
« un jeune qui ne veut plus travailler, c’est un jeune qui a été dégoûté du travail… »
C’est ma première question, dans ton « parcours de jeune », comme tu le dis souvent, peux-tu nous raconter un moment où quelqu’un t’a dégoûté du travail ?
Tamiazzrr : « Oui, ça m’est arrivé à mon premier contrat. C’était dès la fin de mon année de troisième, un apprentissage dans la restauration en tant que serveur. J’avais faim de travailler. J’étais très motivé et j’essayais de faire les choses à la perfection. Mais pour mes patrons, ce n’était jamais assez. Il y avait un autre apprenti avec moi. Dès que le service commençait, le patron nous parlait même comme à un chien. Il nous criait dessus, nous insultait et nous bousculait. Alors que je n’étais qu’un apprenti, dès le début il me passait trois assiettes chaudes en même temps. Je ne maîtrisais pas encore les techniques d’un serveur et je ne savais pas bien utiliser les liteaux, les serviettes blanches pour protéger mes mains. J’ai supporté ses humeurs pendant un an et demi ! Ma mère a dû intervenir avec fermeté et détermination. J’ai fini par tout laisser tomber… même les assiettes dans la cuisine !
J’aimerais en profiter pour passer un message important aux jeunes qui débutent dans le monde du travail. Certains profitent de la jeunesse pour faire de nous ce qu’ils veulent. Alors, si jamais un collègue ou un dirigeant vous manque de respect, ne vous laissez pas faire. Parlez-en immédiatement à vos parents, ensuite si les choses ne s’améliorent pas, ne perdez plus votre temps et changez d’entreprise. C’est le petit conseil du Petit Peintre », les frérots. »
Tamiazzrr, d’où vient ce nom pour le moins curieux ?
Tamiazzrr : « L’histoire de ce surnom, c’est l’histoire d’une renaissance. Je m’appelle Tony et j’ai décidé de m’inventer cette nouvelle identité pour laisser derrière moi les quinze premières années de ma vie. J’ai vécu des moments compliqués, j’ai fait de nombreuses bêtises aussi bien à l’école qu’en dehors. Rien dont je ne suis fier. J’ai abandonné toutes mes fréquentations, bonnes comme mauvaises. Je me suis même disputé violemment avec mes parents. Alors, je suis parti vivre dans un foyer de jeunes travailleurs. Là, je suis tombé dans le monde de la solitude.
Un loup a pris possession de ma personne. Ce loup n’était ni l’alpha ni le bêta, mais l’oméga de ma personnalité ! Je me suis mis dans la tête que je ne devais plus avoir confiance en l’être humain. J’avais besoin de me recréer, de me reconstruire entièrement.
Comme tout le monde, j’avais besoin de bosser pour gagner un peu d’argent. J’ai repris un job. Je travaillais dans les marais, les pieds dans l’eau avec les huîtres. Je repartais de zéro sur des bases solides. Je ne me confiais à personne, à part à ma console de jeux. Bizarrement, elle m’a aidé à ne pas sombrer. »
Que signifie ce nom si étrange ?
Tamiazzrr : « C’est tout simple, chaque lettre à une signification :
Le T pour Tony, mon prénom. Le A pour l’Anonymat, car personne ne savait rien de moi jusqu’à cette interview ! Le M pour la Motivation, celle qui m’a permis de me reconstruire. Le I pour l’Isolement, « Solitude Level Max », une référence aux jeux vidéo. Le A pour Animal, le loup oméga. Le Z, car je suis reparti de Zéro. Un Z encore pour Zénith, car je veux viser le sommet sans m’arrêter. Le R pour la Renaissance de moi-même. Un R de nouveau, la dernière lettre, pour ma future Réussite. »
Le coup de foudre pour la peinture
Tu as un parcours de jeune long et diversifié. Le métier de peintre n’est pas tombé du ciel tout de suite. Tu as touché à de nombreux métiers. Tu as mis du temps à trouver cette passion. Comment es-tu arrivé à la peinture ?
Tamiazzrr : « J’ai essayé plusieurs secteurs sans succès, par exemple l’agriculture, l’électricité ou la plomberie. Mais j’ai vécu aussi de belles expériences. À 17 ans, je suis parti faire les vendanges dans le domaine du Château Margaux. Ce fut une aventure physiquement éprouvante, mais inoubliable. Si j’ai un petit conseil à donner aux jeunes qui ont envie de gagner un peu d’argent, c’est de faire les vendanges.
Ensuite, pendant un an et demi, j’ai enchaîné les stages à la recherche d’une passion jusqu’au jour où je suis tombé dans « le pot de peinture » ! Ce fut un coup de foudre direct pour le métier de peintre en bâtiment. J’ai fait une formation, j’ai passé mon CAP, puis j’ai travaillé pour une entreprise pendant 3 ans. J’ai pris mes petites étoiles avant de me lancer en solo sur mes propres chantiers. Je travaille également sur les réseaux sociaux et je suis en train de créer une formation pour les jeunes, ou même les adultes, qui aimeraient débuter dans ce métier ou bien changer de voie. Ce sera une formation entièrement gratuite sur 4 jours avec un diplôme à la clé. »
On te voit peindre souvent à main levée dans tes vidéos. Ta précision est impressionnante. Comment fais-tu ?
Tamiazzrr : « Ah, le secret de la précision à main levée… c'est un mystère que je cultive avec soin. Imaginez un peu, une technique cachée, comme une danse entre la main et la toile. C’est un mystère que je révélerai bientôt aux apprentis qui viendront suivre ma formation. Encore un peu de patience mon frérot. »
Qu’est-ce qui t’attire le plus dans ton métier ?
Tamiazzrr : « Ce qui m'attire le plus, c'est la capacité de transformer un espace du tout au tout. Chaque mur est une toile qui attend de prendre vie, et chaque projet est une nouvelle aventure. Il y a quelque chose de profondément gratifiant pour moi à voir le sourire des clients lorsqu'ils découvrent leur espace métamorphosé. C'est un métier où la créativité rencontre la technique, et où chaque journée est une opportunité de laisser une empreinte artistique dans le quotidien des gens. C’est un véritable privilège pour moi de pouvoir embellir des lieux et de contribuer à des environnements où les gens se sentent bien. »
Comme tu aimes donner des astuces et des conseils dans tes vidéos aux jeunes, peux-tu nous donner 3 de tes fameux conseils qui font la différence ?
Tamiazzrr : « Mon premier conseil est de choisir un métier qui te passionne, la passion avant l’argent. Le deuxième est d’avoir des rêves en relation avec ce métier. Le troisième, c’est d’avoir toujours l’envie d’apprendre, car c’est une richesse que tu peux t’apporter mon frérot. »
Ce que j’aime dans tes vidéos, c'est ton côté philosophe. C’est comme si tu étais pour ta génération, la version contemporaine du Petit Prince dans le domaine du bâtiment, le Petit Prince de la peinture. On a besoin de jeunes comme toi.
Et ce que j’aime dans cette interview, et que je découvre au fur et à mesure de tes réponses, c’est ton côté artiste. C’est comme si tu gommais la différence que l’on fait habituellement entre le peintre en bâtiment et l’artiste peintre.
Alors forcément, comme j’ai fait des études de philo et que je suis passionné par l’art, notamment la Renaissance, j’aime ta personnalité et je suis fier d’être celui qui aura fait ta première interview.
Le désir de donner en retour
Tu as un style bien à toi. Comment naissent tes vidéos sur les réseaux sociaux ?
Tamiazzrr : « C’est un sketch dans lequel je balance mes petites astuces, mes réflexions, mes humeurs et mon humour. »
Peux-tu nous raconter une rencontre qui a été déterminante pour toi ?
Tamiazzrr : « C’est la rencontre avec un pro qui avait plus de 20 ans d’expérience dans la peinture. C’est devenu un ami formidable et un véritable mentor. Il m’a pris sous son aile avec une générosité incroyable. En dehors de ses heures de travail, il m'a transmis non seulement ses connaissances techniques, mais aussi sa passion pour le métier. Sa patience m’a profondément touché. Il m'a appris l'importance des détails, la manière de gérer les imprévus et l'art de la finition parfaite. Grâce à lui, j'ai pu m’épanouir professionnellement et personnellement.
Cette expérience a éveillé en moi le désir de donner en retour. C'est pourquoi j'ai choisi de partager mon propre savoir avec d'autres, en créant des formations. J'ai compris que transmettre ses connaissances est un acte puissant qui peut transformer des vies, tout comme la mienne a été transformée.
Rien ne me rend plus heureux que de voir d’autres personnes progresser et s'épanouir grâce à ce que j'ai pu leur enseigner. »
Stéphane Aria est un génie
On va se voir sur le stand -H7.2-G05- de Stéphane Aria à Batimat du 30 septembre au 3 octobre, tu auras en charge l’atelier peinture. C’est d’ailleurs Stéphane qui nous a présentés. Qu’est-ce que tu apprécies avant tout chez lui ?
Tamiazzrr : « Cet homme est un génie qui n’a jamais peur d’innover, de créer. Il travaille tellement qu’on a même l’impression que c’est un robot. C’est quelqu’un qui voit les choses en grand et qui ne redoute pas l’échec. Mais surtout, c’est une personne d’une extrême gentillesse. Il est même trop gentil, car il donne bien plus qu’il ne reçoit des autres. J’ai eu la chance de le rencontrer et je veux prendre exemple sur lui. »
On aura peut-être le temps de prendre un café et de discuter un peu. Sur le stand de Stéphane, il y aura du café et des boissons, on en profitera pour parler un peu ensemble. Mais de quoi pourrait-on parler en dehors de ton métier et des réseaux sociaux ? Qu’est-ce qui te passionne ?
Tamiazzrr continue de me parler de son métier, des choses qu’il a envie de faire pour les jeunes, de son envie d’apprendre, et de la peinture. Il est à fond dans son boulot. Il a la tête dans le guidon. Alors, j’insiste un peu pour le sortir, ne serait-ce qu’une minute, de cette réalité. Timidement, il me parle de musique en me disant qu’il écoute de tout. J’arrive à lui arracher une première passion.
Tamiazzrr : « Il y a une chanson qui provoque chez moi des émotions spéciales. C’est un groupe de rappeurs, Djadja & Dinaz. J’aime les paroles de leurs chansons. Mais je n’écoute jamais de musique quand je suis sur un chantier. »
ONIP : une peinture durable
Si tu étais un outil qui correspond à ta personnalité, tu serais quel outil ?
Tamiazzrr : « Je serais une brosse à rechampir. Elle est indispensable pour les travaux de précision. Elle permet d’atteindre les coins et les bordures avec une grande finesse. Sa conception ergonomique et la qualité des poils en font un outil très agréable à utiliser pour obtenir des finitions nettes et précises. »
Est-ce qu’il y a un produit que tu aimes utiliser ?
Tamiazzrr : « J’ai récemment commencé à utiliser les produits d’un fabricant français de peinture, la marque ONIP. Je suis vraiment impressionné par la qualité optimale de leur gamme de peintures. Elles offrent une excellente couverture et une finition durable. De plus, ONIP met en avant des produits respectueux de l'environnement, ce qui est un bonus appréciable pour un jeune comme moi. Je recommande vivement leurs peintures à quiconque cherche à réaliser des projets de peinture avec un résultat professionnel et durable.
D’ailleurs, je ferai mes démonstrations sur le stand ARIA à Batimat avec les peintures ONIP. »
Les héros de Tamiazzrr
Quel est ton héros réel ou imaginaire ?
Tamiazzrr : « Mon héros, sans l'ombre d'un doute, c'est ma mère.
Dans un monde où les héros sont souvent décrits comme des individus dotés de super-pouvoirs ou de capacités extraordinaires, elle reste pour moi la plus grande héroïne, bien que ses pouvoirs soient d'une nature bien différente. Elle m'a soutenu dans mes moments de gloire, comme dans mes périodes d'incertitude et d'échec. Elle m'a aimé inconditionnellement, même lorsque je me suis égaré ou que j'ai pris des décisions qui n'étaient pas les meilleures. Elle a su voir au-delà de mes erreurs, percevant en moi le potentiel que je ne pouvais parfois pas reconnaître moi-même.
Son amour est un bouclier qui m’a protégé des tempêtes de la vie. Sa patience, face à mes caprices d'enfant et mes rébellions d'adolescent, a été constante. Elle a essuyé mes larmes, elle a célébré mes succès et elle a pardonné mes fautes. Même lorsque j'étais le pire des enfants, elle ne m'a jamais abandonné. Elle a continué à croire en moi, à m'encourager, avec une foi inébranlable. Ma mère m’a appris la résilience, la compassion et l’importance de rester fidèle à soi-même. Elle m'a montré que les vrais héros ne se contentent pas de sauver le monde une fois, mais qu’ils sont là, jour après jour, dans les petites batailles que la vie nous impose. Elle est mon modèle de courage et de bonté, et je lui suis éternellement reconnaissant pour tout ce qu'elle a fait et continue de faire pour moi.
Ainsi, dans le livre de ma vie, ma mère est le chapitre le plus précieux, mon héroïne sans cape, mais au cœur immense. Je t’aime maman. »
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Tamiazzrr à l'image de Kaneki Ken
Ta photo de profil sur les réseaux, ce n’est pas toi, on dirait un héros de manga. Pourquoi l’as-tu choisi ?
Tamiazzrr : « « C’est exactement ça. C’est un personnage de manga et d’anime (ndlr : j’ai fait des recherches, le manga est une bande dessinée et l’anime est un dessin animé japonais). Il s’appelle Kaneki Ken, il est le protagoniste de Tokyo Ghoul. Pendant une longue période de ma vie, je ne regardais que ça sur Netflix. C’est une vraie passion.
Kaneki Ken est un étudiant japonais comme les autres. Tout se passait bien pour lui jusqu’au jour où il a été mordu par une goule, un monstre qui se nourrit de chair humaine. Cette morsure par une goule est mortelle. Mais Kaneki Ken va survivre en se transformant en un personnage hybride, moitié homme et moitié monstre. Il va tomber alors dans une profonde et sombre solitude. Je me reconnais un peu en lui. »
Tamiazzrr a pris confiance. Il se confie de plus en plus avec moi. Il me parle enfin de ses passions en dehors de la peinture. Il s’exprime plus librement. Il évoque aussi d’autres périodes difficiles de sa vie comme de son coma. Il lui a fallu du temps pour se reprendre ou comme il dit lui-même « vivre sa renaissance ».
Le Petit Peintre prend son envol.
Le Grand rêve du Petit peintre
C’est le bon moment pour parler du futur. Demain, tu as la possibilité de réaliser ton plus grand rêve, comme tu nous l’as dit avant, c’est essentiel de rêver pour un jeune. Quel est ce rêve ?
Il y a quelque chose de Michel-Ange dans ce selfie de Tamiazzrr
Tamiazzrr : « Mon plus grand rêve, celui que je chéris au plus profond de moi, est de bâtir une entreprise qui porte mon nom, Tamiazzrr, dans toutes les villes de France, et même au-delà des frontières. Je souhaite non seulement dominer le monde de la peinture, mais surtout créer un empire qui inspire et soutient les jeunes passionnés par cet art magnifique.
Mon ambition est de transformer Tamiazzrr en un lieu où l'innovation et la créativité se rencontrent, où les jeunes talents trouvent non seulement une opportunité de développer leurs compétences artistiques, mais aussi un environnement qui favorise leur croissance personnelle et professionnelle.
Je veux que chaque pinceau, chaque toile, raconte une histoire, celle de l'opportunité, de l'espoir et de la passion.
Mon rêve va au-delà du succès personnel. Il s'agit de bâtir une communauté, un réseau de jeunes artistes unis par leur amour de la peinture. Je veux leur offrir des ressources, des formations et des plateformes pour exposer leur art au monde entier. En investissant dans ces jeunes, je crois sincèrement que nous pouvons enrichir le paysage artistique et culturel, tout en créant des emplois et en inspirant la génération suivante.
Ce rêve est le moteur de mes actions, et demain, si j'avais la possibilité de le réaliser, je m'engagerais avec tout mon cœur et mon énergie pour le voir se concrétiser. Tamiazzrr ne serait pas seulement un nom, mais une légende vivante dans le monde de la peinture. »
Je veux que chaque pinceau, chaque toile, raconte une histoire, celle de l'opportunité, de l'espoir et de la passion.
Mon rêve va au-delà du succès personnel. Il s'agit de bâtir une communauté, un réseau de jeunes artistes unis par leur amour de la peinture. Je veux leur offrir des ressources, des formations et des plateformes pour exposer leur art au monde entier. En investissant dans ces jeunes, je crois sincèrement que nous pouvons enrichir le paysage artistique et culturel, tout en créant des emplois et en inspirant la génération suivante.
Ce rêve est le moteur de mes actions, et demain, si j'avais la possibilité de le réaliser, je m'engagerais avec tout mon cœur et mon énergie pour le voir se concrétiser. Tamiazzrr ne serait pas seulement un nom, mais une légende vivante dans le monde de la peinture. »
Précisément le 30 septembre à Batimat. Pendant 4 jours, Tamiazzrr va animer l’atelier peinture du stand ARIA. Stéphane lui a donné un rôle de protagoniste, car il croit fermement en lui.
Alors, n’ayez pas peur et venez le rencontrer, il sera heureux de vous donner un aperçu de son talent et d’échanger avec vous.
